Le soleil se lève sur le lac , ou tout était paisible rien ne semblait troublé cette tranquillité si surnaturel, la faune se réveiller et la flore profité de la rosé du matin. Hakumen qui revenait d'une S quête c’était pausé au bord de se lac pour y passez la nuit ne voulant pas trop marché , mais aussi il connaissait bien se lac pour s'y être plusieurs fois pausé pour s'y ressourcé quand il en avait besoin. Le gardien du temps était pausé contre un arbre Okamï posé contre son épaule prêt à être dégainer en cas d'attaque , Hakumen n'avait jamais de sommeil profond pour la simple raison que son sommeil était troublé de cauchemars digne d'un roman d'horreur et que cela le fatigué plus qu'autre chose.
Hakumen qui venait juste de se réveiller regarder le lac, l'air pensif, même si on le voyait pas , on pouvait le ressentir dans sa façon de soupirer et de toucher le fourreau d'Okamï. Il repensait au dernier événement de sa vie , et se posait toujours les même question :
*Pourquoi suis-je dans se monde ? Suis je vraiment un envoyé des cieux afin d'aider les Hommes a retrouver le droit chemins ? Ou suis je la pour une raison bien précise ? *
Il ne cesser de se poser ses question pour la simple raison qu'il ne savait plus rien de son passé comme si quelqu'un ou quelque chose avait effacer sa vie. Il avait tenter de faire des recherches mais même dans les livres et les archives de chaque ville qu'il visitait , il y avait aucune information sur lui ni même le moindre acte de naissance, comme si il avait jamais existé. Il commençait a croire la possibilité qu'il n’était pas de se monde et comme le sort de la vision du temps ne pouvait marcher sur leur propre utilisateur , il était perdu. Il soupira un nouveau se trouvant tout de même bien dans la nature loin des homme , un oiseau curieux s'approcha de lui et il baissa la main pour qu'il monte dessus. L'oiseau se posa sur le doit et Hakumen le mit devant son masque et dit :
« Bonjour ! Tu veut mangez ? »
il sortit un bout de pain de son sac et posa des miette sur sa main qui semblait gigantesque face a l'oiseau qui se mit a picorer tranquillement dessus.